Les relation USA -URSS- Grande Bretagne :
Des relations faite de méfiance et de pragmatisme :
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Guide russe dont ont bénéficiés les américains |
Churchill souhaitait certes ardemment la chute du régime nazis plus que tout autre, mais il n'aimait pas du tout le régime communisme et redoutait l'expansion de celui-ci sur tout le continent européen. Cette volonté était bien résumé dans une célèbre réplique : " si Hitler envahissait l'enfer je plaiderais le diable a la chambre des communes". La Grande-Bretagne a été malgré tout le premier pays a aider l'URSS matériellement, en octobre, novembre 1941 ils livrèrent des tanks et des avions, en quantité certes restreinte mais la volonté était la.
Les états-unis aussi redoutait un effondrement de l'URSS qui aurait permis au régime nazis de remodeler tout le continent européen ( imaginer le débarquement en normandie faisant face a non pas 10 divisions blindés mais près de 30 !!). La machine de guerre Américain avait besoin de temps pour monter en puissance, le soutient a l'URSS constituant le pivot de leurs stratégies en Europe et l'ouverture d'un second front sur le continent européen une priorité. L'Europe d'abord même si il faut souligner que l'opinion américaine était elle d'avantage en faveur d'une intervention dans le pacifique.
Staline ne cessait de se méfier de ses allés, l'aide américaines était certes appréciable mais il soulignait avec raison que c'était son pays qui assumait l'essentiel de la lutte contre le 3° Reich. De plus les constants reports ( suspension des ravitaillement de Mourmansk durant l'été 42) de l'ouverture d'un second front était un autre sujet de discorde. Il redoutait a long terme que l'URSS ne soit sacrifié comme cela avait été durant la première guerre. Il faut dire aussi que nombre de contact russe reprochait aux alliées d'acheter le sang russe avec l'aides américaines qui n'était de plus pas gratuite. Les américains de plus bénéficiaient également de rapport régulier de la part des russes sur l'entrée en service de nouveaux chars allemands entre autre, source d'infos qu'ils ne surrent pas exploiter au mieux.
L'aide américaines :
Les intérêts des alliés étaient directement liés au capacité de résistance de l'URSS qui supportait l'essentiel de l'effort allemand, Pressé par Churchill, Roosevelt accepte de faire profiter l'URSS de la loi prêt bail. Le 1 octobre 1941 Harriman, Beaverbrook et Molotov signent un accord tripartie qui prévoit la fourniture régulière de matériel de guerre aux soviétiques. Un vaste mouvement de sympathie pour "oncle Jo" ( surnom donné a Staline par Roosevelt ) apparait alors en Grande-Bretagne et aux états-Unis.
L'URSS fait la une de quotitient aux états-unis et l'on salut le courage héroïque du peuple russe, nombres de film de propagande exalte le courage et le patriotisme du soldat russe, Staline est fait homme de l'année en 1942, et dans la presse ont pouvait lire : " ses méthodes sont durs mais elles sont payantes". la presse compare même le KGB au FBI. Le gouvernement américain était au courant des atrocités du régime stalinien mais ils avait trop besoin des russes qui mobilisait près des 2/3 des forces allemandes. ( il est bon de mentionner que malgré tout de nombreux élites américaines nourrissaient de la sympathie pour le régime nazis, on n'en n'était plus a une ambiguïtés près).
L'aides américaines estimé a 15% de l'effort de guerre soviétique fut assez significative dans certains domaine, notamment le transport. entre 1941 et 1945 ce n'est pas moins de 17 millions de tonnes de fournitures divers qui sont acheminée en URSS, 25% par les routes maritimes de l'arctique, en direction de Mourmansk, 25% par le golfe persique et l'Iran, le reste par l'extrême orient, soit par navires de la cote ouest des états unis à Vladivostok, soit par avions, de l'Alaska à Irkoursk en Sibérie.
L'apport le plus significative en plus de matériel de guerre ( chars, armes individuelles, etc. ) concerne les moyens de transport, ce sont donc pas moins de 700 000 camions, 50 000 jeeps, ainsi que 1900 locomotives et 11 115 wagons. Auquel il faut compter des machines outils, matières premiers divers, 4,5 millions de tonnes de produits alimentaires ( farine, sucre,). Ainsi que du caoutchouc et pneus qui contribuèrent grandement a augmenter la mobilité de l'armé rouge.
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