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 Biographie - Ses origines - Sa carrière - Son tennis - Sa vie

 Ses origines, ses débuts :

 - Elena Viatcheslavovna Dementieva est née a Moscou le 15 novembre 1981, sa mère Vera était enseignante son père Viatcheslav était ingénieur èlectricien. elle a commencer a pratiquer le tennis a l'âge de 7 ans en loisir après l'école. C'est sa mère Vera qui la initié au tennis. Elle a fait ses débuts aux Spartack (parce qu'elle avait été rejeté au Dynamo et au club Rouge CSKA, pendant une année il lui a fallut oublier le tennis elle a fait de la gymnastique rythmique ) Ensuite elle a été enfin prise au CSKA, elle a été entraîner par Rauza Islanova la mère de Marat Safin pendant 5 ans," elle était très dure avec nous , mais elle nous a nous a forgée un caractère de sportif, ce désir de ce battre jusqu'à la fin à été hérité d'elle " dira Dementieva.

 - Lorsque elle a débuté Elena ne brillait pas particulièrement, certaine mauvaise langue diront même qu'elle était la tête de turc du groupe alors sous la tutelle de Rauza Islanova, Elena : " Elle était d'une grande sévérité se souvenait Dementieva, elle criait sur nous, nous lançait des gros mots. On avait tellement peur d'elle que si ont perdait un match, je n'osait l'appeler moi-même et je demandais à ma mère de la faire. Mais ma mère me disait : non c'est a toi de l'appeler. C'était dur, je vous jure, mais sa discipline et sa sévérité m'ont permis de mieux comprendre ce que devait être la vie d'une joueuse professionnelle." A l'âge de 13 ans elle a été prise en charge par Sergey Pashkov entraineur au club rouge CSKA " Elena n'était pas meilleur ni plus mauvaise que les autres joueuses du club", avec lequel elle s'est beaucoup améliorer techniquement au niveau du jeu de jambes et de ses frappes de fond de court. Elena : " Il a changé ma technique, mon jeu entier. Nous avons beaucoup travaillé et il a apporté des résultats ". Sergei ne suivait pas Elena sur les tournois car il ne quitte jamais Moscou, c'est sa mère qui assure en quelque sorte la continuité sur les tournois.

 

 Le tennis, sa vie, sa passion !

 - Contrairement a beaucoup de ses compatriotes rien ne prédisposait Elena a devenir une joueuse de tennis de haut niveau, : " Ce sont mes parents qui m'ont mit aux tennis, ils n'avait pas l'espoir que je devienne professionnelle un jour. Ils considéraient juste qu'une bonne éducation devait comprendre une activité sportive. Ils aimaient le tennis et m'ont fait partager cette passion. Après l'école, j'allais jouer et j'adorais ça. C'était du plaisir pas obligatoire. C'est pour cela qu'il a fallu longtemps pour que je me dise que le tennis pouvait devenir mon métier. Même quand j'ai commencé a gagner des tournois, et de l'argent, je trouvais ça super, mais je croyais que tout cela finirait aussitôt que je rentrerais à l'université. J'aimais bien les études, j'ai appris le français, j'ai appris plein de chose passionnantes qui me seront toujours utiles. Ma mère ne voulait pas que je devienne professionnelle, il a fallu qu'elle comprenne que c'était réellement ce qui me rendait la plus heureuse pour céder. Je ne sais pas comment nous avons fait, mais nous avons toujours réussi a oublier le tennis quand nous rentrions à la maison".
 - Au début mes amis voyaient que on n'avait pas les mêmes occupations qu'eux. Après l'école, tous allaient ce promener, moi je courrais pour m'entraîner. A 11 heures du soir je revenait pour préparer mes devoirs pour le lendemain et tombaient de sommeil. Le matin je venait a l'école avec des cernes sous les yeux. Et cela a été comme sa pendant plusieurs années. Mes camarades de classes comprenaient tous cela. De sorte il éprouvait de la sympathie pour moi.

 

 

 Des débuts difficiles :

 - " On ne peut pas dire que la fédération nous aide beaucoup", appuie Elena Dementieva," Il a fallu trouver l'argent par nous mêmes. Auparavant, quand nous avions 6-7 ans il existait effectivement un bon système de fédération, mais la chute du mur a tout changer, c'est malheureusement le prix de la liberté". Pourtant le système fédéral, de détection et de formation, qui a fait le bonheur, toutes disciplines, du sport soviétique, a disparu. Existe-t-il un système russe ? C'est plutôt le système démerde dorénavant. C'est son père entre autre qui a financé Elena et quelques rares sponsors. A cette époque Elena s'attachait a choisir les tournois proche de Moscou pour réduire les dépenses pour le trajet et les repas, une fois un tournois c'est déroulé a Riga en Lettonie, elle était a ce moment là héberger chez ses grands parents. Mais quand les tournois ce déroulait a l'étranger la situation financière devenait difficile. un l'exemple parmi tant d'autres est l'Orange Bowl :
 - Pour le voyage pour le tournois junior l'Orange Bowl, elle a obtenu un billet d'avion et une modeste chambre hôtel, mais au bout de deux jours, il ne restait quasiment plus rien pour la nourriture ou pour l'argent de poche. Son Sponsor principale lui paye une modeste somme pour l'équipement en autre. Son père était sa principale source et même avec un salaire d'ingénieur, c'était dur de joindre les deux bouts.

 

 Elena, Anastasia de vrai amie !

 

 - Elena : " Quand on n'était dans le circuit junior on partagés tous le temps nos chambre ensemble, les mêmes ennuis, les mêmes fou rire, toujours la quand l'une ni arriver plus. On jouait même le double ensemble, on était vraiment amies même si la compétition nous opposait. J'étais meilleur à l'entraînement, mais elle a gagné tellement de fois contre moi en tournois ! Je me souviens d'ailleurs que nous avions joué une fois pour une parts de pizza. Si elle n'avait pas continuer le tennis je n'aurais pas continuer non plus". "Cela fait tellement longtemps que l'on ce connaît, depuis qu'on a six sept ans, en fait On s'est longtemps entraînées avec la mère de Marat Safin, on a joué en équipe et chez les juniors, bref ont faisait tout ensemble, en plus ont est plutôt de bonne copine dans la vie."
 - Myskina à dit: "Quand on n'était dans le circuit junior on partagés tous le temps nos chambre ensemble, les même ennuis, les mêmes fou rire, toujours la quand l'une ni arriver plus. Si elle n'avait pas continuer le tennis je n'aurais pas continuer non plus"